L'infertilité est une épreuve douloureuse pour de nombreux couples. Si vous avez une amie ou un proche qui traverse cette situation, vous voulez sûrement la soutenir de votre mieux. Mais parfois, même avec les meilleures intentions du monde, on peut blesser par des paroles maladroites. Voici 7 choses à éviter de dire à une femme en parcours d'infertilité, et pourquoi.
Cette phrase, souvent prononcée dans l'intention de rassurer, peut en réalité être très blessante pour une femme qui lutte contre l'infertilité.
Tout d'abord, elle sous-entend que c'est le stress qui empêche la conception, comme si l'infertilité était causée par un simple état d'esprit. Or, l'infertilité est une condition médicale complexe, qui peut avoir de multiples causes physiologiques. Dire à une femme de se détendre, c'est minimiser la réalité de sa situation et la culpabiliser en lui faisant porter la responsabilité de son infertilité.
De plus, cette remarque laisse penser qu'il suffirait de se relaxer pour que le problème se résolve comme par magie. Mais pour la plupart des couples infertiles, le chemin vers la parentalité est long et semé d'embûches. Cela demande des traitements médicaux lourds, des procédures invasives, et beaucoup de patience et de résilience. Suggérer que la solution est simple et à portée de main, c'est nier la complexité de leur parcours.
Enfin, affirmer que "ça va bien finir par arriver", c'est faire une promesse que vous ne pouvez pas tenir. Malheureusement, malgré tous leurs efforts, certains couples n'arriveront jamais à avoir un enfant biologique. Leur laisser croire le contraire, c'est leur donner de faux espoirs et rendre la déception encore plus cruelle.
Alors au lieu de minimiser leur souffrance avec des phrases toutes faites, offrez-leur une écoute bienveillante et sans jugement. Reconnaissez la difficulté de ce qu'ils traversent, et faites-leur savoir que vous êtes là pour eux, quoi qu'il arrive. C'est le plus beau soutien que vous puissiez leur apporter.
L'adoption est un merveilleux projet qui permet à de nombreux enfants de trouver une famille aimante. Mais suggérer l'adoption à un couple en parcours d'infertilité peut être maladroit et blessant, pour plusieurs raisons.
Tout d'abord, cela peut donner l'impression que vous ne croyez pas en leurs chances d'avoir un enfant biologique. Quand on lutte contre l'infertilité, on s'accroche à l'espoir de porter son enfant, de lui transmettre ses gènes. Même si l'adoption est une option envisageable, elle ne remplace pas ce désir profond. En la suggérant d'emblée, vous niez la légitimité de leur combat.
De plus, l'adoption est un processus long, complexe et éprouvant, tant sur le plan administratif qu'émotionnel. Ce n'est pas une décision qui se prend à la légère, sous l'impulsion d'un conseil extérieur. C'est un cheminement très personnel, qui demande beaucoup de réflexion et de préparation. En posant cette question, vous mettez le couple face à une pression supplémentaire, alors qu'ils ont besoin de cheminer à leur rythme.
Enfin, en présentant l'adoption comme une alternative évidente à l'infertilité, vous minimisez la souffrance du couple. Vous laissez entendre qu'il y a une solution simple à leur problème, et que s'ils ne la saisissent pas, c'est qu'ils s'entêtent pour rien. Or, le deuil de la fertilité est un processus long et douloureux, qui ne peut être balayé d'un revers de main.
Bien sûr, si le couple aborde lui-même le sujet de l'adoption, vous pouvez les écouter et les soutenir dans leur réflexion. Mais évitez d'imposer cette option comme une évidence ou une solution miracle. Respectez leur cheminement, leurs choix, et laissez-les avancer à leur rythme sur ce chemin si personnel qu'est la construction de leur famille.
Quand on veut réconforter un proche qui traverse une épreuve, il peut être tentant de relativiser en disant "ça pourrait être pire". Mais face à l'infertilité, cette remarque est souvent plus blessante qu'autre chose.
Bien sûr, dans l'absolu, il y a toujours une situation plus grave que la sienne. Mais cela ne rend pas pour autant sa souffrance moins légitime ou moins intense. Dire "ça pourrait être pire", c'est minimiser la douleur vécue, comme si elle n'était pas assez importante pour être reconnue.
De plus, cette phrase laisse entendre qu'il faudrait se réjouir de ne pas avoir de problème plus grave, comme si l'infertilité était finalement un moindre mal. Mais pour ceux qui rêvent de fonder une famille, c'est un véritable drame qui remet en question tous leurs projets de vie. Leur dire qu'ils devraient relativiser, c'est nier l'importance de leur désir d'enfant.
Enfin, comparer les souffrances n'a pas de sens et n'apporte aucun réconfort. Chaque épreuve est unique et vécue différemment selon les individus. Ce n'est pas parce que d'autres vivent des choses terribles que la douleur de l'infertilité est moins valable ou plus facile à porter.
Alors au lieu de chercher à minimiser leur peine, accueillez-la avec bienveillance et compassion. Reconnaissez la difficulté de ce qu'ils traversent, sans jugement ni comparaison. Faites-leur savoir que leur souffrance est légitime et que vous êtes là pour les soutenir, quelle que soit l'issue de leur parcours. C'est ce dont ils ont besoin pour se sentir compris et épaulés dans cette épreuve.
Quand on voit un proche souffrir d'infertilité, il est naturel de vouloir l'aider en partageant des conseils ou des expériences positives. Mais suggérer une méthode miracle, même avec les meilleures intentions du monde, peut être contre-productif et blessant.
Tout d'abord, chaque parcours d'infertilité est unique. Les causes sont multiples et souvent complexes, et ce qui a fonctionné pour l'un ne marchera pas nécessairement pour l'autre. En suggérant une solution toute faite, vous laissez entendre que leur problème est simple et que s'ils n'y ont pas pensé, c'est qu'ils ne se donnent pas assez de mal. C'est une forme de jugement qui peut être très culpabilisante.
De plus, les couples infertiles sont généralement très bien informés sur les différentes options qui s'offrent à eux. Ils ont fait de nombreuses recherches, consulté des spécialistes, et sont accompagnés par des professionnels. Ils n'ont pas besoin qu'on leur dise quoi faire, mais plutôt qu'on fasse confiance à leurs choix et qu'on respecte leur expertise sur leur propre situation.
Par ailleurs, partager des "success stories" peut donner de faux espoirs et rendre la déception encore plus cruelle si ça ne fonctionne pas. Chaque annonce de grossesse dans l'entourage est déjà une épreuve pour un couple infertile, car elle ravive leur propre douleur. Alors brandir ces exemples comme des promesses, c'est risquer de les blesser davantage.
Enfin, se focaliser sur les solutions pratiques, c'est occulter la souffrance émotionnelle liée à l'infertilité. Plus que des conseils, les couples ont souvent besoin de se sentir compris et soutenus dans ce qu'ils traversent. Ils ont besoin qu'on reconnaisse la difficulté de leur parcours, sans chercher à tout prix à le "réparer".
Sous-entendre qu'un couple sans enfant a de la chance, c'est minimiser leur souffrance. Bien sûr, avoir des enfants implique des nuits courtes et peu de temps pour soi. Mais pour ceux qui désirent fonder une famille, ces contraintes sont bien peu de choses comparées au bonheur d'être parent. Alors évitez les comparaisons maladroites et concentrez-vous plutôt sur leur ressenti.
Dire à une femme qu'elle a le temps de faire un bébé plus tard, c'est méconnaître la réalité de l'infertilité. Même si l'âge joue effectivement un rôle, des problèmes de fertilité peuvent survenir à tout âge. De plus, cette remarque nie l'urgence du désir d'enfant. Quand on est prêt à fonder une famille, chaque mois compte et l'attente peut être très douloureuse. Plutôt que de relativiser avec l'âge, reconnaissez la légitimité de leur projet et apportez votre soutien.
Quand un couple rencontre des difficultés à concevoir, il n'est pas rare d'entendre des remarques du type "Et si c'était psychologique ?". Cette question, souvent posée avec bienveillance, peut en réalité être très culpabilisante et blessante pour les personnes concernées.
Tout d'abord, elle sous-entend que l'infertilité est causée par un blocage mental, comme si c'était "dans la tête". Cela revient à nier la réalité médicale de l'infertilité, qui est une condition complexe pouvant avoir de multiples causes physiologiques (problèmes hormonaux, dysfonctionnement des organes reproducteurs, etc.). En suggérant une origine psychologique, on minimise la dimension physique de leur problème.
De plus, cette remarque laisse entendre que la solution est simple : il suffirait de résoudre le blocage psychologique pour que la conception advienne naturellement. C'est une vision réductrice qui fait porter la responsabilité de l'infertilité sur les épaules du couple, et en particulier de la femme. Si elle ne tombe pas enceinte, ce serait de sa faute, car elle n'arrive pas à se libérer de ses freins psychologiques. C'est une pression énorme qui s'ajoute à une situation déjà très éprouvante.
Par ailleurs, même si le stress et les facteurs psychologiques peuvent effectivement jouer un rôle dans l'infertilité, ce n'est jamais la seule cause. Les couples infertiles sont souvent suivis par des spécialistes qui prennent en compte tous les aspects de leur situation, y compris la dimension émotionnelle. Ils n'ont pas besoin qu'on leur suggère des pistes qu'ils ont probablement déjà explorées avec leurs médecins.
L'infertilité est un sujet sensible car elle touche à ce qu'il y a de plus intime : le désir d'enfant, la féminité, la virilité. C'est une épreuve qui ébranle l'identité et les projets de vie. En plus de l'impact émotionnel, les parcours médicaux sont souvent lourds et éprouvants. Alors face à un proche infertile, la meilleure chose à faire est souvent d'écouter avec bienveillance et de se montrer disponible. Chaque mot compte, alors choisissez-les avec douceur et délicatesse.
L'infertilité est une épreuve douloureuse pour de nombreux couples. Si vous avez une amie ou un proche qui traverse cette situation, vous voulez sûrement la soutenir de votre mieux. Mais parfoi...
Au fil des années, et pour l'avoir vécu, j'ai pu constater à quel point l'infertilité inexpliquée est une épreuve particulièrement difficile à traverser pour les couples qui y sont confrontés. Lorsque tous les bilans médicaux sont normaux mais que la grossesse tant désirée ne survient pas malgré des rapports sexuels réguliers, il est légitime de s'interroger sur une possible origine psychologique à ces difficultés à concevoir. Une même question traverse de nombreuses femmes confrontées à cette infertilité inexpliquée : "et si le problème était dans ma tête ?". C'est à cette interrogation que nous allons tenter de répondre dans cet article.
On parle d'infertilité lorsqu'un couple n'arrive pas à obtenir une grossesse après 12 mois de rapports sexuels réguliers sans contraception. C'est une situation très déstabilisante pour les couples concernés. Ne pas avoir d'explication rationnelle, ne pas savoir pourquoi ce bébé tant désiré ne vient pas, c'est une véritable souffrance qui s'ajoute à celle de ne pas réussir à concevoir.
Face à ce constat, certains praticiens évoquent la possibilité de blocages psychologiques qui pourraient inconsciemment freiner la survenue d'une grossesse. On entend alors parler d'infertilité psychologique...
La question de l'existence d'une infertilité d'origine purement psychologique reste controversée dans le milieu médical. S'il est indéniable que des facteurs psychologiques comme le stress, l'anxiété ou des traumatismes passés peuvent impacter négativement la fertilité, il serait réducteur et culpabilisant de penser que l'infertilité inexpliquée est uniquement "dans la tête". Cela viendrait légitimer toutes ces phrases insupportables que l'on entend bien trop souvent : " cela viendra lorsque tu arrêteras d'y penser", " partez en vacances ça va marcher"...
En réalité, les causes d'infertilité sont toujours multifactorielles, résultant d'une combinaison complexe de facteurs biologiques, environnementaux et psychologiques. Ne pas avoir d'explication rationnelle à ses difficultés à concevoir est une source de souffrance supplémentaire.
Plutôt que de parler d'infertilité psychologique, il serait donc plus juste d'évoquer l'impact des facteurs psychologiques sur la fertilité. Ces facteurs ne sont qu'une partie du puzzle et ne doivent pas occulter les causes médicales ou même environnementales. Une prise en charge globale, tant sur le plan physique que psychique, est essentielle pour accompagner au mieux les personnes confrontées à l'infertilité.
Si la prise en compte des facteurs psychologiques dans le parcours d'infertilité est essentielle, la tentation est grande de faire de l'infertilité dite "inexpliquée" une cause fourre-tout quand aucune explication médicale n'est trouvée.
Pourtant, même lorsque les bilans médicaux sont normaux et que la science n'identifie pas d'entrave médicale à la fertilité, cela ne signifie pas pour autant que la cause de l'infertilité est psychologique. De nombreuses zones d'ombre subsistent et les connaissances scientifiques actuelles ne permettent pas toujours d'expliquer l'absence de grossesse. N'oublions pas que la fertilité a encore bien des mystères et qu'à situation égale, les chances de tomber enceinte ne le sont pas. Des carences micro nutritionnelles (comme l'iode, la vitamine d...) peuvent être contreproductives, le système immunitaire peut être en cause ou encore des bilans plus poussés de tyroïdes peuvent être nécessaires et parfois oui, des blocages inconscients peuvent entraver le chemin d'une maternité.
S'il est vrai que le psychisme joue un rôle important dans le fonctionnement de notre corps, il serait réducteur et culpabilisant de penser que l'infertilité inexpliquée est uniquement d'origine psychologique. Pour autant, on ne peut nier l'influence de certains facteurs émotionnels et psychologiques sur les chances de concevoir :
Tous ces éléments, parfois inconscients, peuvent effectivement avoir un impact sur la fertilité et rendre le parcours vers la parentalité plus complexe. Cependant, il est crucial de se rappeler que l'infertilité a des causes multifactorielles. Les aspects psychologiques ne constituent qu'une partie du puzzle, tout comme les facteurs médicaux, environnementaux ou génétiques. Le bien-être mental, comme tout aspect de notre santé, peut être travaillé, éclairé et amélioré. Vous n'êtes pas dépourvu de solutions face à cette situation, et il est tout à fait possible de surmonter ces blocages inconscients !
Même si elle n'explique pas tout, la souffrance psychologique liée à l'infertilité est bien réelle et il est important de la prendre en compte. Voici quelques pistes pour vous aider à traverser cette épreuve sur le plan émotionnel :
Parmi les différentes approches thérapeutiques proposées aux personnes souffrant d'infertilité, la NMO-EMDR (Neurothérapie par les Mouvements Oculaires) apparaît comme une piste intéressante pour résoudre certains blocages psychologiques.
L'objectif est d'aider les patientes à identifier et à dépasser d'éventuels blocages inconscients liés à leur histoire personnelle : traumatismes passés non résolus, blessures d'enfance, peurs inconscientes de la maternité....
Bien sûr, cette thérapie ne constitue pas une solution miracle et ne peut se substituer à un suivi médical classique. Mais en complément d'une prise en charge globale, elle offre un espace pour mettre des mots sur ses souffrances et trouver des ressources pour mieux vivre cette épreuve. Un accompagnement précieux pour retrouver confiance en soi, en son corps et en son potentiel de fertilité.
En conclusion, l'infertilité est une épreuve complexe qui fait intervenir de multiples facteurs, à la fois physiques et psychologiques. Si les causes médicales comme des problèmes au niveau des trompes ou trouble de l'ovulation sont souvent mises en avant, il ne faut pas négliger l'impact des facteurs psychologiques dans l'infertilité, sans pour autant y coller une étiquette d'infertilité psychologique. Le stress, l'anxiété, des traumatismes passés non résolus peuvent inconsciemment bloquer le processus de procréation et compliquer le parcours des couples en âge de procréer.
Pour autant, il serait culpabilisant de penser que l'infertilité inexpliquée est uniquement d'origine psychogène. Quand un couple consulte pour infertilité après 12 mois de rapports réguliers sans contraception et qu'aucune cause n'est identifiée, cela ne signifie pas que le problème est "dans leur tête". Les praticiens doivent faire preuve d'empathie et proposer un accompagnement global, tant sur le plan médical que psychologique pour les soutenir dans ce parcours du combattant.
L'Assistance Médicale à la Procréation (AMP) offre de précieuses chances supplémentaires de concevoir un bébé. Mais elle ne dispense pas d'une prise en charge des aspects émotionnels. Un suivi psychologique avant et pendant le parcours de PMA permet aux membres du couple de mettre des mots sur leur vécu, d'identifier d'éventuels blocages inconscients et de trouver des ressources pour mieux traverser cette période.
En parallèle des traitements, il est essentiel d'adopter une hygiène de vie favorable à la fertilité : gestion du stress, activités de loisirs ressourçantes, diminution de la consommation de tabac... Prendre soin de soi et de son couple est primordial. Avec un accompagnement médical et psychologique adapté, il est possible de surmonter les obstacles et de réaliser son rêve de fonder une famille. Gardez espoir et confiance en votre chemin vers la parentalité.
En tant que thérapeute, mon rôle est de vous accompagner sur le chemin de la parentalité en vous aidant à surmonter les défis psychologiques que vous rencontrez, sans jamais vous culpabiliser. Grâce à des outils comme l'EMDR, la NMO-EMDR ou le coaching féminin, je suis là pour vous aider à apaiser votre mental, à libérer votre potentiel de fertilité et à garder espoir.
Rappelez-vous que vous n'êtes pas seuls dans cette épreuve. Des professionnels sont à votre écoute pour vous épauler à chaque étape. Ensemble, nous trouverons les ressources nécessaires pour avancer vers ce bébé que vous désirez tant, à votre rythme et en respectant votre histoire. Gardez confiance, votre parcours a un sens même s'il est parfois douloureux. De beaux jours vous attendent, j'en suis convaincue.
Avec tout mon soutien,
Au fil des années, et pour l'avoir vécu, j'ai pu constater à quel point l'infertilité inexpliquée est une épreuve particulièrement difficile à traverser pour les couples qui y sont confrontés. Lorsque tous les bilans médic...
Bonjour à toutes ! Aujourd'hui, j'ai envie de vous parler d'un sujet qui me tient particulièrement à cœur : comment la thérapie EMDR peut vous aider à traverser les montagnes russes émotionnelles d'un parcours PMA. En tant que thérapeute spécialisée dans l'accompagnement des femmes en situation d'infertilité, j'ai pu constater à quel point cette approche innovante pouvait faire une réelle différence. Alors, prêtes à en découvrir tous les bienfaits ? C'est parti !
Avant toute chose, faisons un petit point sur ce qu'est l'EMDR. Derrière cet acronyme un peu barbare se cache une approche thérapeutique révolutionnaire : la Désensibilisation et Retraitement par Mouvements Oculaires. Concrètement, il s'agit d'une thérapie brève qui permet de "digérer" des événements traumatiques en stimulant alternativement le cerveau droit et gauche, notamment par des mouvements oculaires.
Lors d'une séance, on va revisiter ensemble les souvenirs difficiles liés à votre parcours d'infertilité, tout en vous ancrant dans le moment présent grâce à des stimulations bilatérales. Petit à petit, la charge émotionnelle associée à ces événements va diminuer, vous permettant de les intégrer de manière plus sereine.
Comme vous le savez sûrement, un parcours PMA est souvent synonyme de stress et d'anxiété intenses. Entre les traitements, l'attente des résultats, les déceptions parfois... Il y a de quoi se sentir submergée émotionnellement ! C'est là que l'EMDR peut faire des merveilles en vous aidant à mieux gérer votre stress.
Grâce au retraitement des souvenirs difficiles, vous allez progressivement vous libérer de cette anxiété qui vous pèse tant. Fini les nuits d'insomnie à ruminer, les crises d'angoisse à l'approche d'une échographie... Vous apprendrez à accueillir vos émotions avec plus de recul et de sérénité. Un vrai soulagement, croyez-moi !
Un parcours d'infertilité met souvent à mal notre confiance en nous et en notre corps. On a l'impression de ne plus le contrôler, de ne plus pouvoir lui faire confiance... L'EMDR va justement vous aider à vous reconnecter positivement à votre corps et à restaurer cette confiance ébranlée.
Au fil des séances, vous allez pouvoir vous défaire de ces pensées négatives qui vous habitent ("mon corps me trahit", "je ne suis pas une vraie femme"...) pour les remplacer par des croyances plus bienveillantes. Votre estime de vous va se renforcer et vous pourrez enfin renouer avec votre corps et votre féminité.
S'il y a bien une chose qui caractérise un parcours PMA, c'est cette attente interminable rythmée par de nombreuses incertitudes. Une véritable épreuve pour notre moral ! Là encore, l'EMDR a plus d'un tour dans son sac pour vous aider.
En travaillant sur votre capacité à lâcher-prise et à vivre dans le moment présent, cette thérapie va vous permettre d'apprivoiser plus sereinement cette période si particulière. Fini de paniquer dès qu'une pensée négative vous traverse l'esprit, vous apprendrez à les accueillir sans vous laisser envahir. Un changement de perspective salvateur !
On le sait, l'infertilité met souvent le couple à rude épreuve. Tensions, incompréhensions, parfois même remise en question de votre projet de vie à deux... Pas facile de préserver son intimité dans ces conditions. Bonne nouvelle, l'EMDR peut aussi vous aider sur ce plan !
En apaisant votre détresse émotionnelle, cette thérapie va vous permettre de faire de la place et vous permettre de vos connecter plus facilement à votre partenaire. Lorsque nous nous sentons mieux avec nous-même, nous nous sentons généralement mieux avec les autres. Vous pourrez communiquer plus sereinement sur ce que vous vivez et retrouver cette complicité parfois mise à mal. De quoi solidifier encore davantage les fondations de votre couple.
Enfin, l'un des plus grands bienfaits de l'EMDR est sans doute de vous aider à vous projeter à nouveau dans l'avenir. Quand on est en plein parcours PMA, on a parfois l'impression que plus rien d'autre n'existe, que notre vie est en suspens...
En vous libérant du poids des traumatismes passés, l'EMDR va vous permettre de vous reconnecter à vos désirs profonds, à ce(ux) qui vous fait vibrer au-delà de votre projet de bébé. Vos rêves vont pouvoir refaire surface et s'ancrer dans du concret. Quelle que soit l'issue de votre parcours, vous saurez que la vie continue et qu'elle est riche de possibles !
Au-delà de la souffrance psychologique, un parcours PMA s'accompagne souvent de douleurs physiques liées aux traitements et aux interventions médicales. Injections, ponctions, effets secondaires des hormones... Notre corps est mis à rude épreuve ! L'EMDR peut justement vous aider à mieux apprivoiser ces sensations douloureuses.
En travaillant sur le lien corps-esprit, cette thérapie va vous permettre de vous détacher progressivement de ces douleurs et de les vivre de manière plus sereine. Vous apprendrez à ne plus les laisser prendre toute la place et à mobiliser vos ressources intérieures pour les traverser. Un précieux allié pour prendre soin de vous pendant cette période intense.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, il arrive que la grossesse tant attendue soit vécue de manière ambivalente après un parcours PMA. Comme si on n'osait pas encore y croire, de peur d'être déçue... L'EMDR peut vous aider à accueillir pleinement ce bonheur et à créer un lien serein avec votre bébé.
En apaisant vos angoisses et vos traumatismes passés, cette thérapie va vous permettre de vivre pleinement votre grossesse, dans toute sa magie et sa beauté. Vous pourrez vous projeter avec confiance dans votre future vie de maman et tisser une relation sécurisante avec votre enfant, dès les premiers instants. Une belle façon de boucler la boucle de votre parcours !
On le sait moins, mais un parcours PMA peut parfois être à l'origine d'un véritable stress post-traumatique. Flash-backs intrusifs, cauchemars, évitement... Autant de symptômes qui peuvent durablement impacter votre qualité de vie, même une fois votre bébé arrivé. Bonne nouvelle, l'EMDR est justement la thérapie de référence pour traiter ce type de troubles !
En vous aidant à retraiter et à intégrer les événements traumatiques liés à votre parcours, cette approche va vous permettre de vous libérer de ces symptômes envahissants. Vous pourrez ainsi retrouver une vie apaisée et sereine, et savourer pleinement les joies de la maternité. Un nouveau départ bien mérité après toutes ces épreuves !
Vous l'aurez compris, les bienfaits de l'EMDR dans le cadre d'un parcours PMA sont multiples et précieux. Cette thérapie est un véritable atout pour traverser cette période délicate avec plus de sérénité et en ressortir grandie.
Alors si vous vous sentez submergée, n'hésitez pas à sauter le pas et à vous faire accompagner. Votre bien-être émotionnel est primordial et vous méritez de mettre toutes les chances de votre côté. Faites-vous ce beau cadeau, vous verrez que ça change tout !
Et vous, avez-vous déjà expérimenté l'EMDR dans votre parcours ? Je serai ravie d'avoir vos retours d'expérience en commentaires. Prenez soin de vous !
Bonjour à toutes ! Aujourd'hui, j'ai envie de vous parler d'un sujet qui me tient particulièrement à cœur : comment la thérapie EMDR peut vous aider à traverser les montagnes russes émotionnelles d'un parcours PMA. En tant...
Bonjour les filles ! Ici Célia, votre thérapeute NMO-EMDR 😊 Aujourd'hui, je voulais aborder avec vous un sujet qui soulève souvent des questions : est-ce que la thérapie EMDR peut avoir des effets secondaires ? Vous êtes nombreuses à me demander si cette approche que j'affectionne tant est sans risque. Alors allons-y, explorons ensemble cette question !
Avant toute chose, un petit rappel pour celles qui ne me connaissent pas encore. L'EMDR (pour "Eye Movement Desensitization and Reprocessing" en anglais) est une psychothérapie qui permet de traiter les traumatismes et chocs émotionnels. Son principe ? Stimuler alternativement le cerveau droit et gauche, souvent par des mouvements oculaires, tout en revivant mentalement l'événement perturbant. Cela permet de retraiter et "digérer" le souvenir traumatique de façon accélérée.
C'est une thérapie brève qui a fait ses preuves, notamment pour soigner les troubles de stress post-traumatique. Et croyez-moi, un parcours d'infertilité et de PMA, ça génère son lot de traumatismes ! Les montagnes russes émotionnelles, les échecs, les fausses joies, les deuils... Tout ça laisse des traces. L'EMDR est alors une formidable alliée pour avancer malgré tout.
Mais revenons à nos moutons. Comme toute thérapie qui va explorer des souvenirs douloureux, l'EMDR n'est pas une promenade de santé. Il faut s'attendre à ce que des émotions désagréables remontent à la surface pendant et après les séances. C'est normal, c'est le processus de guérison qui opère !
Voici les "effets indésirables" les plus fréquents rapportés :
Rien de très inquiétant en soi. Mais il faut être prête à vivre ces quelques obstacles supplémentaires ! L'important est d'en parler avec son thérapeute.
Alors oui, la NMO-EMDR peut provoquer un certain inconfort sur le moment. Mais les bénéfices dépassent largement les désagréments passagers ! Parole de thérapeute, mais surtout de femmes qui sont passées par là.
Car une fois les traumatismes "digérés", c'est une véritable libération émotionnelle qui s'opère. Les patientes se sentent plus légères, apaisées. Elles arrivent enfin à prendre du recul sur leur parcours et à ne plus se laisser envahir par les émotions négatives.
L'EMDR permet de se délester des fardeaux émotionnels du passé pour enfin aller de l'avant. Et croyez-moi, c'est précieux quand on est dans un parcours PMA qui nous met à rude épreuve. On a besoin de toutes nos ressources !
Bien sûr, chaque femme réagit différemment. Mais dans l'ensemble, les effets positifs de l'EMDR sont bien supérieurs aux petits désagréments temporaires. C'est un investissement sur soi qui vaut le coup !
Si vous vous lancez dans l'aventure EMDR, voici quelques conseils pour apprivoiser le processus en douceur :
Voilà, vous savez tout ! Bien sûr, chaque accompagnement EMDR est unique. Mais globalement, même si elle provoque quelques remous, cette thérapie est d'une grande aide pour se libérer de ses traumatismes et enfin aller de l'avant. Alors si votre parcours PMA vous pèse trop, n'hésitez pas à sauter le pas ! Je suis là pour vous épauler.
Célia
Votre thérapeute EMDR qui croit en vous ! 💪
Bonjour les filles ! Ici Célia, votre thérapeute NMO-EMDR 😊 Aujourd'hui, je voulais aborder avec vous un sujet qui soulève souvent des questions : est-ce que la thérapie EMDR peut avoir des effets secondaires ? Vous êtes n...
La grossesse conduit à de nombreux bouleversements tant émotionnels que physiques chez la future maman afin de répondre aux besoins du fœtus en développement et pour soutenir la grossesse elle-même. L’organisme de la future maman, doté d’une capacité d'adaptation considérable, s’adapte et augmente progressivement ses besoins nutritionnels.
Une alimentation saine et équilibrée contribue à la réussite de la grossesse et à la bonne santé du bébé. Bien qu’il ne doive en aucun cas être considéré comme un substitut d’une bonne alimentation, le complément alimentaire prénatal peut parfois s’avérer nécessaire et permettre de compléter les apports nutritionnels de la mère tout en contribuant au succès de la grossesse.
Opter pour une alimentation saine, équilibrée et optimisée avant la grossesse peut augmenter les chances de couvrir les besoins nutritionnels de la future maman pendant la grossesse.
Néanmoins, en période de conception et au cours de la grossesse, il reste difficile de combler parfaitement l'ensemble des besoins en nutriments essentiels et ce malgré une augmentation de l’apport calorique de la maman (1). En cause, un mode de vie stressant et une alimentation industrialisée qui impactent la qualité et la couverture des besoins nutritionnels de la future maman.
La maturité des gamètes, la fécondation et le développement de l’embryon sont des événements entourant la conception et sensibles aux facteurs environnementaux tels que la biodisponibilité des macro- et micronutriments (2). Ainsi, l’optimisation de l’alimentation associée à une supplémentation alimentaire doit être envisagée dès l’instant où la décision de concevoir est envisagée afin de favoriser la conception. Des études font mention d’une période périconceptionnelle d'environ 5 à 6 mois qui coïnciderait avec la décision de tomber enceinte (3).
De plus, sachant que la maturité des gamètes dans les ovaires/testicules est le reflet du statut nutritionnel de l’individu 3 mois auparavant, il est recommandé d’opter pour un complément prénatal au plus tard 3 mois avant de tenter de concevoir (4). Néanmoins, il n'est jamais trop tard pour commencer la supplémentation ! Son impact sur la conception, le développement embryonnaire et la grossesse ultérieure reste bénéfique à toute étape.
Dès la période de conception, il est crucial de préparer l’organisme de la future maman en enrichissant son alimentation du fait de l’augmentation de ses besoins nutritionnels.
Il est impossible de prédire le temps qu’il faudra à chaque femme pour tomber enceinte, celui-ci étant propre à chacune d’elle. Néanmoins, en prévision d’une grossesse à venir, il faut souligner l’importance de la supplémentation. A titre d’exemple, compléter son alimentation par un apport en folates (ou vitamine B9 ou acide folique) en amont de la conception permet de prévenir l'apparition de certaines malformations telles que la spina bifida qui se forme dès le 28ème jour de grossesse.
De même, un complément prénatal multivitamines peut aider à prévenir la carence en vitamine A, iode et zinc, fréquente chez les adolescentes et les femmes en âge de procréer (5), ainsi que la carence en magnésium et vitamine D commune à la population générale du fait d’une alimentation trop riche en viande rouge, céréales raffinées, sucres raffinés et produits laitiers riches en matières grasses (6).
Pour la supplémentation en fer, il est préférable de faire des analyses avant de prendre tout complément pour vérifier la nécessité.
L'importance d'un bon statut nutritionnel avant la grossesse tient compte de son impact sur la qualité de l’ovulation, le développement embryonnaire et le déroulement de la grossesse. Des études ont souligné que la prise d’un bon complément alimentaire multivitaminé pendant la période périconceptionnelle est associée à une réduction des risques de complications graves tels que la prééclampsie (7), les anomalies du tube neural et les anomalies des voies urinaires et cardiovasculaires (8).
Par exemple, la supplémentation en folates (vitamine B9) et idéalement en choline au cours de la période périconceptionnelle peut réduire jusqu’à 70% le risque d’anomalies du tube neural (cerveau, colonne vertébrale et/ou moelle épinière) (9), ce qui souligne l'importance de ces nutriments dans la prévention d’anomalies congénitales (10).
De la même façon, une consommation adéquate de poissons gras (20) et en particulier de DHA (21), acide gras oméga 3 essentiel, est associée à un meilleur développement embryonnaire et à une réduction des risques de complications. Des carences en micronutriments tels que le fer, le zinc, l'iode et les vitamines B6, B12 et D en période périconceptionnelle ont été associées à un risque accru de complications pendant la grossesse : problèmes de croissance fœtale (13,14), accouchements prématurés (11, 16, 18, 19) et anomalies placentaires (12, 17). Certaines études ont également rapporté des complications du développement cognitif plus tardives de l’enfant (15).
Finalement, une alimentation équilibrée avant la grossesse est cruciale car elle fournit une gamme de nutriments essentiels à la fois pour la santé maternelle mais surtout pour la santé fœtale. Les habitudes alimentaires riches en fruits, légumes, légumineuses, noix et poissons sont associées à un risque réduit de complications telles que le diabète gestationnel (22), les troubles hypertensifs de la grossesse (23) et les naissances prématurées (24).
Un bon statut nutritionnel avant la grossesse, associé à une supplémentation adéquate en nutriments essentiels et à une alimentation équilibrée, est essentiel pour limiter le risque de complications au cours de la grossesse.
Bien que les compléments prénataux ne constituent pas une solution miracle face à l'infertilité, certains nutriments influent sur des mécanismes biologiques de la conception et sont susceptibles d’affecter la fertilité (25).
C’est le cas des folates qui semblent influencer la qualité et la maturation des ovocytes ou encore du zinc qui est impliqué dans l'ovulation et le cycle menstruel. Une association de folates et de zinc va elle avoir un impact sur les follicules, la dégénérescence du corps jaune et l'épaisseur de l'endomètre (26).
De même, la prise de suppléments enrichis en fer peut réduire le risque d'infertilité liée à l'ovulation. Tandis qu’un apport adéquat en vitamine B6 est associé à de meilleures chances de conception (27).
Une étude a montré que les femmes supplémentées en acides gras oméga 3 ont 1,5 fois plus de chances de concevoir que celles n’en prenant pas. La combinaison d’un complément multivitaminé prénatal associé à une supplémentation en acides gras oméga 3 a mis en évidence une hausse de chances de conception 1,3 fois supérieure par rapport à un simple complément multivitaminé (28).
Tous les compléments alimentaires ne se valent pas, c'est pourquoi le choix d’un complément prénatal doit être minutieux !
Premièrement, afin de garantir une meilleure absorption des nutriments, ceux-ci doivent être sous forme active, de qualité et biodisponibles.
Deuxièmement, les doses doivent être adéquates et correspondre aux doses journalières recommandées pour répondre aux besoins nutritionnels spécifiques.
Troisièmement, le complément prénatal doit idéalement contenir de la choline et du DHA, nutriments essentiels aussi bien en période de conception que tout au long de la grossesse.
Pour finir, le complément prénatal doit avoir été testé par un laboratoire afin de garantir l’absence de résidus, de nanoparticules, ou de composés néfastes tels que le dioxyde de titane.
Baby Bump, complément prénatal formulé par Jolly Mama, offre une couverture des besoins essentiels spécifiques à la grossesse, avec des doses efficaces et une absorption optimale grâce à des formes actives et biodisponibles de vitamines et minéraux. Il ne remplace pas une bonne alimentation mais est une “assurance” dans cette période si sensible et particulière.
Un statut nutritionnel adéquat est un déterminant majeur de la réussite de la grossesse en cas de désir d’enfant. Une alimentation saine et équilibrée est cruciale même supplémentée d’un complément alimentaire prénatal parfois non négligeable. Il ne faut pas sous-estimer l’importance du statut nutritionnel avant la grossesse qui s’avère aussi important qu’au cours de celle-ci. Des apports nutritionnels adéquats avant la grossesse augmentent les chances de répondre aux besoins pendant la grossesse.
Cependant, il faut veiller à ne pas prendre de compléments alimentaires sans l’avis d’un praticien de santé spécialisé en nutrition, à bien les choisir et adapter les dosages. Jolly Mama, ce sont des produits de nutrition pour les (futures) mamans, à chacune des étapes clés de leur vie : de la conception au post partum, en passant par la grossesse et l’allaitement.
Des snacks gourmands, des boissons et compléments alimentaires développés avec l’aide d’experts en nutrition et fabriqués dans des laboratoires en France. Mais aussi un accompagnement au travers de consultations, conférences et contenus pour soutenir les (futures) mamans dans leur quotidien et les aider à prendre soin d’elles et de leur santé.
Sources
[1] AVIS de l’ANSES relatif à l'actualisation des repères alimentaires du PNNS pour les femmes enceintes et allaitantes - Juin 2019
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[20] Braga DP, Halpern G, Setti AS, Figueira RC, Iaconelli A Jr, Borges E Jr. The impact of food intake and social habits on embryo quality and the likelihood of blastocyst formation. Reprod Biomed Online. 2015;31(1):30–38.
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La grossesse conduit à de nombreux bouleversements tant émotionnels que physiques chez la future maman afin de répondre aux besoins du fœtus en dévelo...
Si vous souffrez du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) et cherchez des solutions naturelles, ne cherchez pas plus loin. Bien qu'il n'existe pas de traitement universel pour le SOPK, une variété de remèdes naturels peuvent aider à atténuer les symptômes. Gardez à l'esprit que ces traitements ne sont pas magiques et leur efficacité varie d'une personne à l'autre. Découvrez ci-dessous quelques astuces simples qui pourraient améliorer votre bien-être.
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Les aliments à faible indice glycémique sont bénéfiques pour stabiliser la glycémie et atténuer les symptômes du SOPK. Optez pour des aliments riches en fibres tels que les légumes et les céréales complètes, recommandés dans ce type de régime.
Évitez les aliments transformés et sucrés, car ils peuvent provoquer des pics de sucre dans le sang, perturbant l'équilibre nécessaire pour gérer efficacement le SOPK. Privilégiez une alimentation équilibrée qui favorise la stabilité de votre taux de sucre sanguin.
En intégrant des aliments à faible indice glycémique dans votre alimentation quotidienne, vous pouvez potentiellement réduire l'impact du SOPK sur votre santé globale. Restez consciente des choix alimentaires que vous faites afin d'améliorer progressivement vos symptômes liés au syndrome des ovaires polykystiques.
Les fibres alimentaires sont essentielles pour réguler la digestion et maintenir un poids santé, ce qui est crucial pour les femmes souffrant du SOPK. Les légumes, fruits, légumineuses et céréales complètes sont d'excellentes sources de fibres à inclure dans votre alimentation quotidienne.
Essayez d'atteindre l'apport recommandé en fibres chaque jour. Cela peut favoriser une meilleure santé hormonale en aidant à contrôler le taux de sucre dans le sang et en favorisant une bonne digestion. Les fibres peuvent également aider à réduire l'inflammation, un problème courant chez les femmes atteintes du SOPK.
En augmentant votre consommation de fibres, vous pouvez améliorer votre sensibilité à l'insuline, ce qui est souvent altérée chez les personnes atteintes du SOPK. De plus, des études montrent que les régimes riches en fibres peuvent contribuer à la perte de poids et au contrôle hormonal chez ces femmes.
Une alimentation riche en fibres peut également aider à réduire les niveaux d'hormones mâles (androgènes) associés au SOPK. En intégrant davantage de sources naturelles de fibres dans vos repas quotidiens, vous soutenez activement votre bien-être global tout en ciblant spécifiquement certains symptômes liés au syndrome des ovaires polykystiques.
Les acides gras oméga-3 offrent des bienfaits anti-inflammatoires qui peuvent aider les femmes souffrant du SOPK.
Les poissons gras comme le saumon, les sardines et les maquereaux sont d'excellentes sources naturelles d'oméga-3.
Pour ceux qui ne consomment pas de poisson, il est possible de se tourner vers des alternatives végétales telles que les graines de chia et l'huile de lin pour obtenir leur dose nécessaire en oméga-3.
En plus de réduire l'inflammation, les acides gras oméga-3 peuvent également contribuer à améliorer la sensibilité à l'insuline chez les femmes atteintes du SOPK.
L'introduction régulière d'aliments riches en oméga-3 dans votre alimentation peut donc être un moyen simple mais efficace pour soutenir votre santé hormonale et inflammatoire si vous êtes concernée par le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK).
L'exercice régulier est bénéfique pour améliorer la sensibilité à l'insuline et maintenir un poids santé. Optez pour des activités telles que la marche, le vélo ou la danse, visant à atteindre au moins 30 minutes d'exercice par jour. Il est crucial de consulter votre médecin avant d'entamer un programme intense.
En pratiquant une activité physique de manière constante, vous favorisez la gestion du SOPK en réduisant les symptômes liés à cette affection. De plus, l'exercice contribue à diminuer le stress et l'anxiété souvent associés au SOPK.
Choisir des exercices qui procurent du plaisir peut augmenter votre motivation et rendre plus agréable le fait de rester actif quotidiennement. Les bienfaits vont au-delà de la simple perte de poids ; ils incluent également une amélioration générale du bien-être mental et physique.
Rappelez-vous que même des changements simples dans vos habitudes quotidiennes peuvent avoir un impact significatif sur votre santé globale lorsque combinés avec une alimentation équilibrée et d'autres traitements naturels contre le SOPK.
Le stress peut exacerber les symptômes du SOPK, d'où l'importance de trouver des moyens pour le gérer. La méditation et le yoga se révèlent être des outils efficaces pour diminuer le stress et favoriser un équilibre hormonal optimal.
Prendre quelques minutes chaque jour pour pratiquer la méditation ou le yoga permet de calmer à la fois l'esprit et le corps. Ces activités peuvent aider à réduire les niveaux de cortisol, une hormone liée au stress, contribuant ainsi à améliorer votre bien-être général en cas de SOPK.
Il est recommandé d'intégrer ces pratiques dans votre routine quotidienne pour bénéficier pleinement de leurs effets positifs sur la gestion du stress associé au syndrome des ovaires polykystiques.
La cannelle peut jouer un rôle crucial dans l'amélioration de la sensibilité à l'insuline chez les femmes souffrant du SOPK, ce qui est essentiel pour réguler les niveaux de sucre dans le sang.
Pour bénéficier des effets positifs de la cannelle, il est recommandé d'en ajouter à vos repas quotidiens tels que les smoothies, yaourts ou céréales.
Il est primordial d'utiliser de la cannelle de qualité afin d'obtenir tous ses bienfaits et toujours consulter votre médecin si vous prenez déjà des médicaments hypoglycémiants pour éviter toute interaction nocive.
En intégrant simplement cet ingrédient naturel dans votre alimentation quotidienne, vous pouvez potentiellement contribuer à améliorer votre santé globale en tant que personne atteinte du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK).
Les graines de lin, riches en lignanes, aident à stabiliser les niveaux hormonaux chez les femmes atteintes du SOPK. En intégrant des graines de lin moulues dans vos smoothies, salades ou yaourts, vous pouvez bénéficier de leurs propriétés régulatrices.
Pour éviter la constipation lors de la consommation de graines de lin, il est crucial d'augmenter votre consommation d'eau. Cela permettra également une meilleure absorption des nutriments contenus dans ces petites graines aux multiples bienfaits.
L'huile essentielle de menthe poivrée est bénéfique pour réduire l'hyperpilosité chez les femmes souffrant du SOPK. En diluant quelques gouttes dans une huile porteuse, vous pouvez l'appliquer directement sur les zones concernées.
Il est important de noter qu'il est préférable d'éviter d'utiliser cette huile essentielle pendant la grossesse ou l'allaitement pour garantir la sécurité et le bien-être de la mère et du bébé.
Le thé vert est riche en catéchines, des antioxydants qui peuvent aider à augmenter le métabolisme chez les femmes souffrant du SOPK, favorisant ainsi la perte de poids.
Buvez régulièrement du thé vert pour bénéficier de ses effets positifs sur votre métabolisme, mais veillez à ne pas en abuser en raison de sa teneur en caféine.
Si vous suivez un traitement médical, consultez votre médecin avant d'ajouter du thé vert à votre routine quotidienne, car il peut interagir avec certains médicaments.
L'acupuncture peut aider à rétablir l'équilibre des hormones chez les femmes souffrant du SOPK en stimulant certains points d'énergie dans le corps.
Consultez un acupuncteur qualifié pour évaluer vos symptômes et déterminer si cette méthode peut vous apporter un soulagement complémentaire aux traitements médicaux traditionnels.
Rappelez-vous que l'acupuncture ne doit pas remplacer les traitements conventionnels; elle agit plutôt en synergie avec eux, offrant une approche holistique pour améliorer votre bien-être global.
Les probiotiques sont bénéfiques pour la santé intestinale des femmes souffrant du SOPK, car ils aident à réduire l'inflammation. Les aliments fermentés tels que le yaourt, la choucroute et le kéfir constituent d'excellentes sources naturelles de probiotiques.
Pour celles qui préfèrent les suppléments, il est recommandé de choisir des produits contenant des souches spécifiques favorisant la santé hormonale.
Certains produits laitiers et viandes rouges peuvent aggraver les symptômes du SOPK en raison des hormones ajoutées ou des graisses saturées qu'ils contiennent. Optez pour des alternatives végétales telles que le lait d'amande ou le yaourt au soja pour réduire ces effets néfastes sur votre santé.
Limitez votre consommation de viandes rouges et préférez plutôt des sources plus maigres de protéines, comme le poulet ou le poisson. Ces choix alimentaires peuvent contribuer à améliorer vos symptômes liés au SOPK tout en vous fournissant les nutriments essentiels dont votre corps a besoin.
En remplaçant progressivement les produits laitiers riches en matières grasses par des options végétales plus saines, vous pouvez potentiellement réduire l'inflammation dans votre corps et atténuer certains symptômes du syndrome des ovaires polykystiques. Prendre soin de son alimentation est une étape importante pour gérer cette condition chronique tout en favorisant un mode de vie plus sain.
Le tabagisme peut aggraver les symptômes du SOPK et augmenter le risque de complications liées à cette condition. En arrêtant ou en réduisant votre consommation de tabac, vous pouvez améliorer significativement votre santé globale. Demander l'aide d'un professionnel de la santé est crucial pour trouver des stratégies efficaces afin d'arrêter de fumer.
Envisagez ces faits :
Les femmes atteintes du SOPK qui fument ont souvent des niveaux plus élevés d'hormones mâles, ce qui peut exacerber les symptômes comme l'acné et la pilosité excessive.
Le tabagisme augmente également le risque de maladies cardiovasculaires chez les femmes souffrant du SOPK, une complication fréquente associée à cette condition.
Prendre la décision d'arrêter de fumer peut non seulement améliorer vos symptômes actuels mais aussi prévenir toute aggravation future due au SOPK. N'hésitez pas à solliciter un soutien professionnel pour entamer ce changement bénéfique pour votre santé.
En adoptant ces traitements naturels pour le SOPK, vous prenez des mesures positives pour améliorer votre santé et votre bien-être. L'équilibre alimentaire, l'exercice régulier, la gestion du stress et l'intégration de certains aliments spécifiques peuvent contribuer à atténuer les symptômes du syndrome. N'oubliez pas que la cohérence est la clé du succès. En intégrant progressivement ces conseils dans votre routine quotidienne, vous pourrez observer des changements positifs au fil du temps.
Continuez à vous informer, à écouter votre corps et à adapter ces recommandations à vos besoins individuels. N'oubliez pas que chaque petit pas compte dans votre parcours vers une meilleure santé. Restez motivée et persévérante, et n'hésitez pas à consulter un professionnel de la santé pour un suivi personnalisé. Découvrez aussi ici les accompagnements proposés par l'Odyssée Fertile si vous êtes en parcours PMA.
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